Recensé sur Passion du livre, Evene et dans Metro (Suisse)

Sur Passion du livre, on pourra lire les premières lignes.
Il est présenté sur Evene.
Quand à Metro (Suisse), voici le petit article :

Toilettes mobiles sur la "pelouse" du Parc des Princes, le 21 juin 2008 pour le concert de Tokio Hotel


Un courriel de Philippe : il relève deux erreurs et fait une suggestion

A propos du Livre à livre aux toilettes :

p.59 : je ne crois pas que la scène des toilettes des jardins avec le
cycliste dedans vienne de La Grande Vadrouille. Je pencherais plutôt
pour Le Petit Baigneur, mais c'est à vérifier (ce que je ne ferai
point). Le fait que tu n'aies pas retenu le titre du film mais que tu te
souviennes du détail du cycliste, n'est pas sans soulever
d'intéressantes perspectives psychanalytiques concernant ta relation
conflictuelle avec les deux-roues.

(Philippe, qui me connaît bien, fait une allusion au fait qu'on m'a volé trois vélos en trois ans).

p.60 : j'ignore si la scène du "Est-ce que quelqu'un parle anglais ?
Allez nettoyer les WC" figure dans un film des Charlots. Par contre, je
suis certain qu'elle figure dans Le Pistonné, avec Guy Bedos (et dans les
chiottes, il trouve un autre troufion en train de nettoyer. "- Toi aussi
tu parles anglais ? - Non, allemand"). Le Pistonné, c'est quand même
mieux que De Funès et Les Charlots.

Anne a peur de lire le livre à lire aux toilettes... dans le train

Extraits de son message, drôle, et qui fait bien plaisir:
"Pages de droite PAS lues aux toilettes!
Je viens de finir de lire les pages de droite du livre que je n’ai pas lu aux toilettes!
(tiens, je suis en train de me dire que l’intitulé “page de droite” pourrait prêter à confusion.... Mais que nenni, je sais que vous me comprenez parce que vous connaissez l’objet!)
Enfin, pour tout dire, j’ai commencé à lire dans le train hier soir... et comme j’ai littéralement commencé à exploser de rire, je l’ai tout de suite refermé ... Parce que sur le réseau nord transilien, les gens sont pas très drôles! et comme (en plus) je ne suis pas africaine... Je me suis dit... Bon, on va pas trop se faire remarquer, déjà... Jouons-là discrète parce que c’est connu... Pour vivre heureux, vivons cachés (comme au cabinet!).
Au-delà de l’aspect désopilant de l’ouvrage... Franchement, Francis... Chapeau! se sortir d’un sujet pareil avec classe, tout le monde ne peut pas le faire!
Bon et puis, vous voyez, je suis méthodique... Maintenant, je vais attaquer les pages de gauche! (je prépare ainsi mon voyage au Japon.... Méthode, rigueur et lecture de l’ouvrage dans le sens inverse des occidentaux! faut bien ça pour commencer!)"
Anne

Cité dans un article de la rubrique "Vous" de Libération du 16 juin 2008

Voici le début de l'article d'Emmanuelle Peyret qui s'est appuyée sur la sortie de mon ouvrage pour traiter ce sujet d'actualité :
«J’ai révisé pas mal d’examens aux chiottes»
Mœurs. Lire aux toilettes, une habitude très répandue. Plus masculine que féminine ?
C’est à la lueur de ce genre de papier (si on ose dire) qu’on se rend compte que l’humanité est scindée en deux. Non pas les pour/les contre la peine de mort ou ceux qui ont/n’ont pas une tortue naine domestique. Non, ceux qui lisent aux gogues et ceux qui pas. Précisons d’emblée que la responsable de ces lignes n’emprunte jamais de livres à la bibliothèque à cause de la première catégorie : sait-on jamais, si les précédents ont lu l’opus aux chiottes, tu imagines le truc. Ce petit épisode névrotique mis à part, évoquons brièvement quelques chiffres : chaque être humain va 1 300 fois [hypothèse très basse vu que ça suppose un peu plus que trois fois par jour, ce qui fait bien rigoler mes copines] par an aux toilettes, ce qui fait, à la fin d’une vie normale, un minimum de 70 jours passés «au petit coin», comme disait ma grand-mère. Est-ce pour autant une raison pour y lire, y mélanger le culturel et le fécal, la pulsion anale et par exemple la littérature ? Les hommes et les femmes partagent-ils également cette pratique, vieille comme mes gogues ? Une vraie question, qui a valu à l’humanité entre autres un ouvrage de Jonathan Swift, Le grand mistère ou l’art de méditer sur la garde-robe renouvelé et dévoilé, paru en 1729, l’admirable Lire aux cabinets d’Henry Miller qui n’en finit pas de peser le pour et le contre de l’affaire. Plus récemment, le réjouissant et sociogoguique Livre à lire… aux toilettes (1) de Francis Mizio, [un ancien de Libération, l’honnêteté force à le dire], chroniqueur et écrivain, une somme de chiffres et d’anecdotes sur la relation très personnelle de l’auteur à ce phénomène social et donc littéraire. Les Allemands ont même mis au point un rouleau de PQ avec de quoi lire dessus, pour les imprévoyants, c’est dire si le sujet est, euh, porteur. Comme disait l’autre, mieux vaut lire aux chiottes que chier dans la bibliothèque.

Suivent des témoignages édifiants à lire ici (tant que c'est accessible et pas encore en archives).

Article sur les "Zakouskis du jeudi", blog Bibliobs

Le blog de Malika et Sylvie, "Les Zakouskis du jeudi", a examiné mon ouvrage sans se pincer le nez. Merci à elles. C'est ici.